Risque sismique d’effondrement d’immeuble à Tokyo

Séismes mineurs

Modifications perpendiculaires du terrain par le tremblement de terre du Grand Kanto de 1923.

Tokyo est proche de la limite de trois plaques, ce qui en fait une région extrêmement active pour les petits tremblements de terre et les glissements qui affectent fréquemment la zone urbaine en se balançant comme dans un bateau, bien que les épicentres de la partie continentale de Tokyo (à l’exclusion de la juridiction insulaire longue de 2 000 km de Tokyo) soient assez rare. Il n’est pas rare dans la région métropolitaine d’avoir des centaines de ces tremblements de terre mineurs (magnitudes 4 à 6) qui peuvent être ressentis en une seule année, quelque chose que les résidents locaux ne font qu’ignorer mais qui peut être une source d’anxiété non seulement pour les visiteurs étrangers mais pour les japonais d’ailleurs aussi. Ils causent rarement beaucoup de dégâts (parfois quelques blessés) car ils sont trop petits ou trop éloignés car les tremblements de terre ont tendance à danser autour de la région. Les régions offshore sont particulièrement actives et, dans une moindre mesure, Chiba et Ibaraki.

Séismes puissants peu fréquents

Tokyo a été frappée par de puissants tremblements de terre (mégaséisme) en 1703, 1782, 1812, 1855, 1923 et bien plus indirectement (avec une certaine liquéfaction dans les zones d’enfouissement) en 2011 ; la fréquence des séismes directs et importants est une rareté relative. Le tremblement de terre de 1923, d’une magnitude estimée à 8,3, a tué 142 000 personnes, la dernière fois que la zone urbaine a été directement touchée.

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