Photo aérienne de l’aéroport international d’Auckland

Aéroport d’Auckland

L’aéroport d’Auckland (IATA : AKL, OACI : NZAA) est un aéroport international desservant Auckland, la ville la plus peuplée de Nouvelle-Zélande. C’est l’aéroport le plus grand et le plus fréquenté du pays, avec plus de 16 millions de passagers transportés au cours de l’année se terminant en août 2023. L’aéroport est situé près de Māngere, une banlieue résidentielle, et d’Airport Oaks, une banlieue de services à 21 kilomètres au sud du centre-ville d’Auckland. Il sert de plaque tournante principale pour Air New Zealand et de base opérationnelle néo-zélandaise pour Jetstar.

Plan des terminaux de l'aéroport d'Auckland en 2016.

L’aéroport est l’un des plus importants atouts en matière d’infrastructures de Nouvelle-Zélande, fournissant plusieurs milliers d’emplois à la région. En 2000, il a traité 71 % des arrivées et des départs internationaux de passagers aériens du pays. C’est l’un des deux seuls aéroports commerciaux de Nouvelle-Zélande pouvant accueillir des avions à réaction Airbus A380 (l’autre étant celui de Christchurch).

L’aéroport dispose d’une piste unique de 3 535 m, 05R/23L, qui est de catégorie IIIb (avec un taux de mouvements réduit) dans le sens 23L. Il a une capacité d’environ 45 mouvements de vol par heure et est actuellement l’aéroport à piste unique le plus fréquenté d’Océanie. En novembre 2007, les travaux ont commencé sur une nouvelle piste nord, qui sera construite en plusieurs étapes et sera utilisée principalement par des avions plus petits, libérant ainsi de la capacité sur la piste principale. Le projet a été retardé à plusieurs reprises et, en 2023, aucune date n’a été annoncée pour son achèvement. L’aéroport couvre actuellement 1 500 hectares de propriété aéroportuaire.

Actuellement, l’aéroport compte deux terminaux : international et national. En 2023, l’aéroport a annoncé son intention de faire en sorte que tous les vols à réaction utilisent un seul terminal agrandi, tandis que les vols à turbopropulseurs continueront d’utiliser le terminal national existant.

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